Élisabeth Catez est née le à Farges-en-Septaine dans le Cher, ses parents vont vivre à Dijon où son père militaire avait été envoyé en garnison. Élisabeth est très vive, passionnée, coléreuse. Elle a sept ans quand meurt son père. C’est un drame pour elle, mais cela détermine un changement total dans sa vie de petite fille : elle veut devenir bonne. Sa mère l’aide à lutter contre son caractère difficile. Dans la bonne société dijonnaise, c’est une charmante jeune fille, premier prix de piano, recherchée par les bonnes familles comme parti pour les jeunes hommes. Mais elle a choisi une autre orientation pour sa vie.
Elle veut vivre « en oraison continuelle », puisque Dieu est présent en son cœur. Élisabeth rentre au Carmel le 2 aout 1901 « pour se livrer à la vie des Trois, à l’union à Dieu ». Cinq ans d’union intime avec le Dieu-Trinité qui lui confère paix, joie et gaieté malgré la maladie d’Addison qui l’accable bientôt et l’emportera à 26 ans, le 9 novembre 1906, dans l’amour éternel qu’elle a cherché.
Élisabeth de la Trinité est béatifiée le par le Pape Jean-Paul-II
Elle est canonisée le
« Dieu a des desseins que nous ne comprenons pas toujours, mais que nous devons adorer ! » (L129)
« Le sacrifice est un sacrement qui nous donne le bon Dieu, Il l’envoie à ceux qu’Il aime et qu’Il veut tout près de Lui (L174)


